Ce geste révèle tout l'opportunisme et le cynisme du président de l'USP, qui s'obstine depuis des mois à résister à toute réforme de la politique agricole vers un peu plus d'écologie, et qui utilise tous les moyens à sa disposition pour l'empêcher.
La décision du Conseil des États donne une nouvelle impulsion à l'initiative pour une eau potable propre et à l'initiative pour une Suisse sans pesticides. Apparemment, même dans sa composition plus verte, le Parlement n'est actuellement pas disposé à s'attaquer aux graves problèmes environnementaux auxquels l'agriculture est confrontée en termes de sol, d'eau et de biodiversité et à affecter des milliards d'argent public à des méthodes de production durables.
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